
Principale source d’angoisse dans l’inconscient collectif, l’araignée est étrangement le parent pauvre du cinéma horrifique. Lorsqu’elle n’est pas reléguée à une simple séquence choc (L’homme qui rétrécit, L’au-delà), l’arthropode ne trône que rarement en tête d’affiche, le dernier exemple honorable étant Arachnophobie en 2001. Suite à quelques courts-métrages inégaux mais non dénués de promesses, Sébastien Vaniček troque les maisons californiennes filmées par Frank Marshall pour un HLM de Noisy-le-Grand, sujet d’une invasion.
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