
Mais quelle mouche a donc piqué Ridley Scott ? Supposer une seconde l’adhésion des Français – ce peuple qui ne s’aime pas lui-même, disait l’intéressé – devant une telle boucherie, tant filmique qu’historique, relève d’une inconscience plus folle que la charge solitaire de Ney à Waterloo. Car ternir Napoléon est bien de droit pour un français. Pour un Anglais, on parlera sobrement de crime.
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