
“I’m not queer. I’m disembodied.” À bien des égards, la maxime répétée par Lee et Allerton, protagonistes de Queer, s’applique autant à une certaine idée de leur sexualité qu’à un projet d’introspection pour le cinéma de Luca Guadagnino et son formalisme (souvent) creux. Au désir idyllique conté par André Aciman (Call Me by Your Name) succède désormais celui de William S. Burroughs, terre d’un profond mal-être.
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