
Dans Call me by your name, Luca Guadagnino s’était lancé le pari de filmer la naissance de l’amour, la floraison du désir. Il avait plongé – et nous avec lui – dans le désordre sentimental adolescent avec une sincérité bouleversante. C’est de cette sincérité, presque naïve mais surtout bornée, que manque Bones and all.
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