
Ils sont quatorze réunis dans une salle obscure au centre d’un hôtel labyrinthique de Sarajevo. À l’extérieur, la ville est en travaux, et un cimetière sans fin recouvre l’horizon. Pour son cinquième film, Teona Strugar Mitevska retourne sur les traces de la dernière grande guerre européenne, sur le tabou d’un traumatisme partagé et une reconstruction qui ne peut passer que par la libération de la parole.
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