
Pour l’éternité marque le retour de Roy Andersson sept ans après la fin de sa Trilogie des vivants, débutée par Chansons du deuxième étage (2000) et close par Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence (2014). Un long-métrage sombre et beau, qui a reçu le prix du meilleur metteur en scène à la Mostra de Venise.
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