
Le nom du salon de toilettage de Marcello, Dogman, s’impose d’emblée comme un qualificatif de sa personne : dès le début du film, le héros apparaît comme cet « homme chien », fidèle et soumis corps et âme à l’un de ses voisins, Simoncino, une brute sans cerveau accro à la cocaïne et à la violence qui terrorise le quartier. Marcello est son martyr, employé dans des entreprises criminelles sans guère en avoir le choix…