
Il est des cinéastes dont on peut dire sans trop de risques qu’ils sont des maîtres en un domaine. Qu’ils soient maîtres d’un genre (John Ford pour le western, Kurosawa pour le film de sabre), d’un procédé technique (les travellings avant de Resnais, ceux latéraux pour Jarmusch, reconnaissables entre mille) ou d’un effet esthétique et narratif (Hitchcock, maître du suspense). Darren Aronofsky, lui, a prouvé brillamment en huit films qu’il était le maître incontesté du mauvais goût.
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