
Après un premier volet sans panache, Les Trois Mousquetaires de notre cardinal du cinéma Seydoux poursuivent leur course échevelée sur le sentier de la vacuité. Milady augurait pourtant une suite plus lugubre encore, plus lyrique, plus psychologique, digne de la seconde partie du roman, tragique et vénéneuse. À condition de croire un tant soit peu à l’entreprise, ce qui, devant le pauvre D’Artagnan, paraissait compromis. À condition, surtout, que le duo roublard de scénaristes eût saisi les fondements littéraires et l’épaisseur mélancolique de l’œuvre de Dumas.
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