
Pleasure suit le parcours d’une jeune suédoise – nom de scène : Bella Cherry – se rendant à Los Angeles dans le but de devenir la nouvelle star du X.
Continuer à lire … « Pleasure »Au cinéma le 20 octobre 2021
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Continuer à lire … « Pleasure »Au cinéma le 15 janvier 2020
Certains films annoncent dès leur sujet la singularité qui va les caractériser. Dans Swallow, Hunter attend un enfant de son mari, qui ne la voit guère que comme une femme au foyer. Elle se trouve bientôt atteinte d’un étrange syndrome, qui existe réellement : la maladie de pica, qui consiste à ingurgiter des objets non comestibles. Une vis, une bille, une épingle…
Au cinéma le 13 février 2019
Angel, 18 ans, sort de prison et rentre dans sa famille d’accueil à Philadelphie. Son retour lui permet de renouer les liens avec sa petite sœur Abby, et démarre une histoire de vengeance sur les traces de leur père, responsable de la mort de leur mère.
Deux jours après avoir reçu le Grand Prix au Festival de Deauville, Jim Cummings nous a reçu pour parler de son premier film, le très réussi Thunder Road, actuellement en salles.
Vous êtes nouveau dans le monde du cinéma, pouvez-vous vous présenter ?
Je viens de Nouvelle-Orléans, en Louisiane. J’ai étudié le cinéma à Boston pendant 4 ans, puis je suis allé à San Francisco où j’étais assistant de production pour la société Industrial Light & Magic de George Lucas. J’ai travaillé sur Captain America, je m’ennuyais à apporter les cafés… J’ai fait cela quelques années, puis j’ai produit des films d’animation, des clips, des publicités, ce qui m’a appris à gérer une équipe. J’ai passé 6 ans effrayé à l’idée de faire quelque chose par moi-même, j’avais peur que ce soit mauvais. Je pensais que je n’étais pas assez doué pour faire quoi que ce soit. Ensuite, à Los Angeles, j’ai travaillé pour des vidéos comiques que je ne réalisais pas, et qui n’étaient pas très drôles. Je m’occupais des budgets et de l’organisation. On faisait trois courts-métrages par semaine. J’ai eu alors envie de faire quelque chose de drôle, j’avais l’ambition d’essayer par moi-même. On a donc tourné le court-métrage Thunder Road en une journée, en six heures, après avoir répété pendant deux mois. Sérieusement, je viens de nulle part. J’étais employé dans cette société, je n’ai pas de formation d’acteur, mais je voulais faire quelque chose qui puisse marquer les gens.
La première séquence de votre film est adaptée de ce court-métrage, Thunder Road. Comment vous est venue l’idée d’en faire un long-métrage ?