Présenté à Toronto en 2018 puis à Deauville en 2019, J.T. Leroy a fait les frais de la crise sanitaire jusqu’à atterrir en VOD en France, dans l’indifférence la plus totale. Peut-être était-ce aussi pour d’autres raisons.
Kate et Matt décident de partir vivre dans une maison de campagne laissée à l’abandon. En s’installant, ils y découvrent une pièce étrange avec le pouvoir d’exaucer tous leurs souhaits.
Ulrich Mott (Christoph Waltz), guide touristique à Washington, est passionné par la diplomatie. Ambitionnant de changer de métier, il épouse Elsa Brecht (Vanessa Redgrave), journaliste beaucoup plus âgée que lui dont le carnet d’adresses à l’intérieur du milieu politique est incommensurable, et devrait lui permettre d’approcher ses hauts modèles. Un soir, Elsa est retrouvée morte… Son mari annonce sa décision de trouver le coupable, tandis qu’aux yeux de la fille d’Elsa (Annette Bening), Ulrich l’a tué. Cette histoire vraie, adaptée d’un article du New York Times intitulé Le pire mariage de Georgetown, inspire au comédien Christoph Waltz sa première réalisation.
Jarhead, vétéran de la marine, place toute sa désolation dans une violence qui ne cherche que le moment opportun pour exploser. La misère de son quotidien, la précarité de la situation de sa famille le poussent à convoiter la somme promise au vainqueur du « Donnybrook », un combat à mains nus organisé illégalement au milieu d’une forêt de l’Indiana.
Fernand Deligny (1913-1996), éducateur, écrivain et réalisateur en amateur, a œuvré toute sa vie en faveur des autistes pour lesquels il créa des lieux de vie adaptés. Le cinéaste Richard Copans réhabilite son histoire dans un documentaire conçu comme un voyage en images à travers le parcours de ce précurseur méconnu.