
C’est sur une terrasse baignée d’une lumière chaude et ocre, qui inondera de ses couleurs ardentes l’ensemble du film, qu’Houria, jeune danseuse algérienne, répète les pas tourmentés du cygne noir, casque sur les oreilles, souffle court. La caméra capture ses pointes abimées par les cours donnés par sa propre mère, qui s’entrechoquent, volent dans les airs- autant de plans qui annoncent ce dont la jeune femme talentueuse sera privée.
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