
Michael est un quarantenaire intrinsèquement égoïste et aigri. Il aliène rapidement et efficacement tous ceux qui l’entourent. Notamment Kyle, son meilleur ami.
Au cinéma le 29 juillet 2020
Michael est un quarantenaire intrinsèquement égoïste et aigri. Il aliène rapidement et efficacement tous ceux qui l’entourent. Notamment Kyle, son meilleur ami.
Au cinéma le 29 juillet 2020
Alors que Yakov tente de s’émanciper de la communauté juive orthodoxe, il accepte, par besoin financier, d’assurer la veillée funèbre d’un autre membre décédé de cette communauté.
Au cinéma le 22 juillet 2020
La comparaison entre le film La Isla Minima (2014) d’Alberto Rodriguez et la série True Detective était inévitable. Si des similitudes dans l’ambiance visuelle aussi bien que dans l’intrigue sont indéniables, La Isla Minima avait su se démarquer brillamment de la série à succès sortie la même année. Impossible d’en dire autant de Lands of Murders de Christian Alvart.
Au cinéma le 8 juillet 2020
Un sac Louis Vuitton contenant une somme remarquable d’argent est retrouvé dans les vestiaires d’un sauna : c’est le point de départ de Lucky Strike, premier long métrage de Kim Yong-Hoon. Ce sac est l’unique constante du film : il en est le début et la fin. Les personnages se succèdent mais l’argent demeure. Si lui reste intact, c’est un destin bien néfaste qui attend ceux qui s’y intéressent.
Sur Netflix le 26 juin 2020
En 1974, le groupe suédois ABBA remporte l’Eurovision. Devant son poste de télévision, le jeune Lars est subjugué. Depuis ce jour, il n’aura plus qu’une seule idée en tête : participer lui aussi à ce concours musical. Avec son amie d’enfance Sigrit, Lars répète jour et nuit la chanson qu’ils espèrent un jour interpréter sur scène. Dans leur petit village en Islande, les deux musiciens sont la risée des autres habitants et la honte de leurs familles. Jusqu’à ce que, sur un concours de circonstances assez grotesque, ils soient sélectionnés à l’Eurovision pour représenter leur pays.
Continuer à lire … « Eurovision Song Contest : The story of Fire Saga »
Rétrospective Palme d’or
Le nouvel Hollywood peut se définir comme la réponse américaine à la Nouvelle Vague française. Après une période de basse fréquentation des salles de cinéma dès la fin des années 50, les années 70 donnent à l’industrie un nouveau souffle en revendiquant une opposition au classicisme. Alors que des films comme Bonnie & Clyde (Arthur Penn, 1967), Le Lauréat (Mike Nichols, 1967) ou Easy Rider (Dennis Hopper, 1969) sont considérés comme les œuvres fondatrices de ce mouvement, ceux de Jerry Schatzberg se retrouvent régulièrement – et injustement – relégués au second plan.
Rétrospective Palme d’or
Giovanni est psychanalyste et père de famille. Il écoute ses patients lui confier leurs névroses avant de regagner son appartement dans lequel sa femme, son fils et sa fille l’attendent. Ses journées sont réglées selon une routine précise et indispensable. Lorsqu’un événement tragique vient la troubler, sa vie bascule irréversiblement.
Rétrospective Palme d’or
Les années soixante marquent le renouveau artistique du cinéma italien, son essor économique et son rayonnement international. Alors qu’une nouvelle génération de cinéastes se dessine, cette ère moderne est pourtant incarnée par des auteurs plus âgés. Parmi eux : Federico Fellini. En 1960, le réalisateur remporte la Palme d’or avec La Dolce Vita.
Rétrospective Palme d’or
Le 20 mars 1976 débute le tournage d’Apocalypse Now. Initialement prévu pour durer quatre mois, il s’étendra sur plus d’un an. En 1979, le film de Francis Ford Coppola n’est pas encore prêt et sera projeté au festival de Cannes avec la mention « work in progress ».
En VOD le 14 mai 2020
Kate et Matt décident de partir vivre dans une maison de campagne laissée à l’abandon. En s’installant, ils y découvrent une pièce étrange avec le pouvoir d’exaucer tous leurs souhaits.