George (Jesse Plemons) et Phil (Benedict Cumberbatch) tiennent un ranch dans le Montana. Le premier est discret, gentil. Le second est brutal, acariâtre. Lorsque George épouse Rose (Kirsten Dunst), la dynamique qui régissait la fratrie est mise en péril, au grand regret de Phil.
Après les événements du 11 septembre, le gouvernement américain cherche à désigner des fautifs. À tout prix. Mohamedou Ould Slahi (Tahar Rahim) devient alors le bouc émissaire de cette tragédie. Sans preuve, inculpation, procès ou jugement, il est retenu à Guantanamo.
Deux soldats britanniques sont chargés de porter un message à un autre bataillon afin d’éviter qu’ils se retrouvent piégés par les allemands. Pour que l’ordre parvienne au colonel concerné, les deux jeunes amis devront risquer leur vie en traversant le no man’s land… Mission suicidaire qui s’inspire en réalité de l’histoire du grand-père du réalisateur. 1917 est non seulement un film très personnel pour Sam Mendes, mais il s’agit aussi de son tout premier scénario.
Benoit Solès adapte la pièce de Hugh Whitemore pour nous raconter l’histoire d’Alan Turing et son rôle durant la Seconde Guerre Mondiale. À travers ellipses et flashbacks, le metteur en scène Tristan Petitgirard retrace la vie du génie mathématicien, que le film The imitation game (avec Benedict Cumberbatch) avait fait connaître au grand public en 2015.
Après le ton humoristique brilliant et assumé que Taika Waititi avait donné à Thor : Ragnarok, les frères Russo continuent quant à eux leur lancée dramatique avec Infinity War. La saga Marvel (The Infinity Saga), touche à sa fin après trois phases composées d’au moins six films chacune. Infinity War marque la première partie du dernier volet des Avengers qui se finira avec la sortie de Endgame en 2019. Les frères Russo atteignent avec ce film l’apogée de cette deconstruction des super-héros qu’ils avaient entrepris avec Captain America : Le soldat de l’hiver puis Civil War. Que font des super héros s’ils n’ont plus rien à défendre et comment en arrivent-ils là ? C’est l’enjeu d’Infinity War.
La série Patrick Melrose est adaptée des livres d’Edward St. Aubyn, dans lesquels il raconte sa propre vie à travers le personnage fictif de Patrick Melrose. Violé par son père dès l’âge de cinq ans, il tente de faire face aux traumatismes de son enfance en se réfugiant dans la drogue et l’alcool. C’est après la mort de son père et une tentative de suicide qu’il décide finalement de reprendre en main sa vie et d’affronter ses démons, tant bien que mal. La mini-série de cinq épisodes nous permet de suivre la vie de Patrick, déjà adulte, entremêlée de flash-backs de son enfance. Ce faisant, le créateur de la série David Nicholls peint un portrait glaçant de l’aristocratie britannique.
Grâce au programme de captation NTLive, dont le National Theatre est à l’origine, de nombreuses pièces jouées à Londres sont filmées et rediffusées dans des cinémas partout dans le monde. Cette production d’Hamlet, jouée au Barbican en 2015, a tout pour plaire. Une pièce populaire avec Benedict Cumberbatch en tête d’affiche : en à peine quelques heures toutes les représentations sont déjà complètes.
Basé sur le livre de Ian McEwan du même titre, The Child in Time raconte l’histoire de Stephen Lewis, un écrivain pour enfants dont la vie bascule lorsque sa fille de quatre ans disparaît. Le téléfilm de Julian Farino, connu pour son travail sur la série Entourage, produit par la BBC se centre sur les différentes étapes du deuil et leur répercutions sur la vie personnelle et professionnelle des protagonistes.Continuer à lire … « The Child in Time »