
Les héroïnes de Julie Delpy, qu’elle incarne elle-même, observent souvent un parcours classique avant de commettre une déviance. Un trajet ordinaire qui verse dans l’impensable. C’était exemplairement le cas de la Comtesse Bathory (La Comtesse, 2009), qui commence par ressembler à une princesse contrariée en amour avant de se muer en figure gothique sadique. Dans un autre registre, Isabelle, la mère de la Zoé du titre, emprunte une route toute aussi surprenante, alors que son quotidien s’annonçait lambda…
Continuer à lire … « My Zoé »