
Le dernier né des studios Pixar, sélectionné par l’édition fantôme du festival de Cannes, permet au cinéaste Pete Docter de poursuivre son travail dans la lignée de Vice-versa (2015), qui consiste à adresser des préoccupations métaphysiques à un public multigénérationnel. Soul adopte un récit surprenant et adulte, bien que la profondeur du propos soit parfois contrebalancée par des réflexes trop communs.
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